Au plus noir de la nuit, Asimbonanga ''nous n'avons pas vu'', contre l'oubli, lisez, écoutez dans l'esprit de Mandela, ceux qui ont avec les notes et les mots, lutté contre l'oppresseur pour libérer l'opprimé.
Découvrez notre séléction.
Au plus noir de la nuit, Asimbonanga ''nous n'avons pas vu'', contre l'oubli, lisez, écoutez dans l'esprit de Mandela, ceux qui ont avec les notes et les mots, lutté contre l'oppresseur pour libérer l'opprimé.
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A quarante ans bien sonnés ''Le journal le plus lu dans les terriers'' est toujours aussi fringant, et fête son centième numéro. A Boult-aux-Bois (Ardennes) tout au long de l'année la Hulotte chausse ses bottes, observe, grapille et deux fois par an rapporte à ses 150.000 abonnés petits et grands, nichés dans 70 pays, une joyeuse histoire de nature. Mais attention, tout se fait scientifiquement, les petites bêtes et les plantes des bois et des champs n'ont qu'à bien se tenir !
A dénicher dans votre médiathèque.
Mardi 3 décembre à 18h Régine Frydman sera le grand témoin du Cercil , à la Médiathèque Anna Marly
Régine a huit ans en 1940 quand les Allemands décident d'enfermer 450.000 Juifs dans le ghetto de Varsovie.
Régine n'aurait pas survécu si son père Abram Apelkir n'avait pas bravé le danger, risqué sa vie en sortant du ghetto pour trouver de la nourriture, caché sa famille et notamment Nathalie (âgée de quelques mois), la sœur de Régine chez Monsieur Goujik, l'un de leurs amis non-juifs, fonctionnaire à la police judiciaire polonaise, puis durant 3 ans dans un couvent de Varsovie, couvent qui a ensuite déménagé à Klariszew.
Régine Frydman partage son témoignage dans son livre "J'avais huit ans dans le ghetto de Varsovie" (éd. Tallandier, 2011).
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