D'une jeunesse texane, le français RedEye a conservé un swing nonchalant, un chant de chat prostré au soleil, mélancolique mais serein.
Comme l'illustre Townes Van Zandt, maître local de cette façon d'adoucir le poison, il réussit ainsi à raconter le malheur avec élégance et raffinement, par la grâce de refrains ou d'harmonies qui feraient avaler des couleuvres – voire des crotales. (Les Inrocks)
RedEye sera en showcase à la médiathèque le vendredi 14 février, à 17h (et non à 17h30 comme précédemment annoncé).